Trois jours consécutifs, Amadou Koïta et ses invités ont célébré la journée internationale des migrants. Cela se passe à Ségou du 18 au 20 décembre 2019 dans la salle de conférence de la Chambre de commerce.
Des séries de panels ont marqué cette cérémonie. Des ambassadeurs, des anciens ministres, des chefs d’institutions humanitaires, financières, nationales, sous-régionales et internationales ont répondu « présents » à l’invitation du ministre des maliens de l’exterieur.
Entre-autres : le Maire de la Commune Urbaine de Ségou, monsieur Nouhoum DIAARA; Pascal REYNTJENS, Chef de mission de l’OIM (Organisation internationale des migrants du Mali); S.E Bart OUVRY, Albassadeur de l’Union Europeenne au Mali; S.E Mme Mbaranga Gasarabwe, Coordinatrice du système des Nations unies au Mali; le Représentant du PNUD au Mali, monsieur Jo Scheuer; Dr Boubou CISSÉ, Premier minstre; Ambassadeur du Sénégal au Mali; Ambassade du Pays-Bas; HCR; APEJ; AECID; MME; MISSAHEL; CEDEAO; GIZ et surtout EJOM/SNV dont l’intervention a fait réagir plusieurs jeunes dans la salle.
Selon sa présidente, EJOM/SNV finance chaque année plus de 400 à 800 jeunes porteurs des projets. Selon elle toujours, Mme Diarra, EJOM octroie 300 000f à chaque jeune concerné qu’il soit migrant de retour ou migrant potentiel. Le migrant potentiel est tout jeune diplômé sans emploi.
APEJ de son côté, a expliqué qu’elle a été créée en 2003 pour former et accompagner financièrement les jeunes du Mali diplômés ou non. «De notre création à nos jours, nous avons formé et financé des milliers des jeunes sans aucune discrimination», a ajouté son Directeur général. Une thèse qu’un jeune porteur du projet ne semble pas partager. Samba est son prénom. Il affirme soumettre en 2018 son projet d’embouche estimé à une somme de 700 000f CFA à l’APEJ de Ségou mais à présent, aucune réponse.
Aly Ousmane SARRE
Lemalien.ml
